« Que ton aliment soit ton seul médicament » (Hippocrate V siècle av JC).

Publié le par Valérie

L’homme a donc toujours admis que l’équilibre alimentaire était la condition sine qua non à une bonne santé.


Au XVIII siècle les marins anglais appelés Limeys prévenaient le scorbut en mangeant du citron vert.


A la fin du XIX siècle, les naturopathes ont attirés l’attention sur l’utilisation possible de la nourriture à des fins thérapeutiques.


Dans la moitié du XX siècle, les scientifiques répertorièrent plus de 40 nutriments dont 13 vitamines. S’en suivit la découverte de l’impact des minéraux sur le corps humains.


Dans les années 60, tout s’accélère et le régime thérapeutique ou « alimentation clinique » est reconnu pour sa pertinence dans la recherche des carences chez l’individu.


Aujourd’hui, nous commençons seulement à établir un lien direct entre la santé et l’alimentation. La thérapie nutritionnelle n’est pas à son premier coup d’essai et ses effets préventifs comme thérapeutiques nous permettent d’agir sur la santé physique et morale afin de tendre vers un confort de vie certain.


Pas moins de 18 minéraux, 15 vitamines et 9 acides aminés sont reconnus indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. D’action antagoniste ou complémentaire, agissant en synergie ou en dépendance, il est sans dire que le moindre maillon défaillant peut suffire à rompre la chaine. La moindre carence en oligo-éléments peut rompre l’harmonie du métabolisme et engendrer un ressentit sur l’état général.


Idéalement, une alimentation équilibrée devrait permettre de répondre aux besoins spécifiques de chaque individu. Malheureusement, les méthodes de production modernes, l’agriculture intensive, les raffinages successifs, et parfois l’absorption d’alcool, le tabac, font que la carence s’installe plus souvent qu’on ne le pense.


En réponse à la dégradation de nos matières premières au cours du temps, le recours aux compléments alimentaires, dans le cadre d’une thérapie nutritionnelle, peut s’avérer une bonne alternative et permettre de restaurer un bon niveau de vie, parfois même, là où d’autres méthodes conventionnelles avaient échouées.



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